Face à cette situation, depuis 2007, nous n'avons pas cessé d'agir.
Nous le savons tous ici : la compétitivité est une notion complexe, large, protéiforme, et nous avons agi sur deux de ses paramètres essentiels.
Le premier est l'innovation. En triplant le crédit d'impôt recherche, en réformant en profondeur le fonctionnement de notre appareil de recherche, en lançant un programme d'investissements d'avenir de 35 milliards d'euros, en engageant la réforme de l'université, nous avons posé les bases d'une amélioration considérable de notre capacité d'innovation.