J'étais disposé à accepter la proposition de Mme la rapporteure, mais les réponses du Gouvernement m'inquiètent. Étant d'un naturel méfiant, je propose que nous maintenions nos amendements. Nous les retirerons au dernier moment, si, d'ici à l'examen en séance publique – quelque peu hypothétique, convenez-en – nous parvenons à rédiger un texte qui nous convient.
Yves Nicolin a raison, nous entendons depuis dix ans les mêmes réponses. J'ai le sentiment que les parlementaires doivent aujourd'hui faire un pas.