Voilà ce que nous espérions, ce soir, du grand maître de l'université, car, monsieur le ministre, l'investissement éducatif repose sur les ouvriers de la première heure, ceux qui ont en main l'école maternelle, l'école primaire, le collège, le lycée. Comment pourrez-vous développer les universités sans des professionnels avertis de toutes les données de leur métier ? Tel est le sens de notre plaidoirie. Ce n'est pas une question de lutte politique, mais une question grave, importante pour l'avenir. (Applaudissements sur les bancs des groupes SRC et GDR.)