De ce point de vue, l'amendement de Jacques Grosperrin permet de lever toute ambiguïté et de dissiper la crainte d'éventuelles arrière-pensées qui sous-tendraient la proposition de loi. Le travail accompli me paraît intéressant.
Enfin, en modifiant l'article L. 721-1 du même code, l'article 2 de la proposition de loi a simplement pour objet de préciser que les IUFM pourront faire et de la formation initiale et de la formation continue. Je ne suis pas sûr, cette fois non plus, que cela justifie des tombereaux de réactions.
Voilà, c'est tout. Il n'y a rien de plus dans la proposition de loi.
Cela doit-il susciter des inquiétudes quant à l'avenir de notre système éducatif ? Cette proposition de loi justifie-t-elle ce déferlement d'inquiétude sur certains bancs, où elle est présentée comme une catastrophe ?