On comprend, que lorsque M. Copé s'est exprimé, c'était sous le contrôle de l'Élysée, dont le porte-parole nous fait le plaisir d'être des nôtres ce matin.
À travers cette menace, on devine l'objectif du groupe UMP : anticiper le dispositif de suppression du droit d'amendement. Je regrette, monsieur le président, que vous ayez ce matin prêté la main à cette anticipation, en faisant en sorte qu'un grand nombre de nos amendements ne soient pas discutés ni même, pour une partie d'entre eux, mis aux voix.