Monsieur le président, mesdames, messieurs, les propos tenus dans l'hémicycle ne pouvaient que provoquer des réactions. Ils sont inacceptables pour l'opinion publique et le Parlement.
Je ne parlerai que de l'incident qui vient de se produire, sans refaire l'histoire ou revenir sur le passé, pour demander que, lorsque l'on pose des questions, il faut éviter d'utiliser des mots susceptibles de provoquer des réactions légitimes.