Sans les mesures qui ont été prises très tôt par le Gouvernement, je pense en particulier au RSA, à l'augmentation de 25 % de l'allocation adulte handicapé, à l'augmentation de 25 % du minimum vieillesse (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP), à la prime de solidarité de 150 euros par mois pour les 3 millions de familles qui ont des enfants de plus de six ans scolarisés – c'était en octobre 2009 –, je pense également à la prime de 200 euros pour soutenir les 4,3 millions de Français précarisés, – sans cela, monsieur le député, ce seraient 260 000 de nos compatriotes qui auraient basculé au-dessous du seuil de pauvreté. (Exclamations sur les bancs du groupe SRC.) Je ne vous parle même pas des tarifs sociaux du gaz et de l'électricité.