L'effort que nous avons accompli avec le STIF en faveur du réseau francilien a donc porté de manière plus particulière sur le RER : plus de 50 % de l'effort de renouvellement lui a été dédié alors qu'il ne représente que 40 % du réseau. Nous avons donc bien privilégié la partie la plus sensible du réseau. La montée en puissance a été un peu lente, c'est vrai, mais le processus est maintenant bien engagé et nous pourrons tenir l'essentiel de nos engagements d'ici à la fin de 2012. Nous ferons bien entendu en sorte de poursuivre l'effort au-delà de cette date.