Monsieur le préfet de police, dans le cas d'un accident grave de voyageur, notamment d'un suicide, les opérateurs nous ont dit que le réseau était bloqué pendant deux heures environ. Cela peut être imputable à des lenteurs de vos collègues de la justice et, en outre, il convient d'observer un « délai de décence », après un décès, avant de faire redémarrer le RER, mais ne serait-il pas possible de dispenser une formation particulière aux officiers de police judiciaire, si ce n'est pas déjà le cas ?
D'autre part, on nous a expliqué que, lorsqu'un accident se produisait sur une voie, toutes se trouvaient bloquées. Quel est le dispositif mis en place sur le réseau RER, sur des voies qui ne sont pas forcément dédiées ?