En tant que vice-président du groupe d'amitié France-Roumanie, j'adresse un salut fraternel à nos collègues roumains. La ville de Vire, dont je suis le maire, est jumelée àSăcele, à côté de Braşov, et je peux témoigner de la vigueur de nos échanges, notamment entre les lycées et en matière culturelle. Depuis dix ans, on assiste à un formidable mouvement d'amitié entre les jeunes de nos deux villes.
La crise n'a pas épargné la Roumanie. Votre pays a pris des mesures drastiques de réduction de la dépense publique pour revenir à l'équilibre, allant jusqu'à réduire les salaires dans la fonction publique. Pourriez-vous nous exposer les grandes lignes de cet effort ? Quelles ont été les modalités de concertation ? Quels sont les premiers résultats constatés ?
Comme mes collègues, j'aimerais en savoir plus sur votre position concernant la taxe sur les transactions financières. Si l'on parvient à un accord, pensez-vous que la ressource doive être affectée au budget de l'Union européenne ?
Enfin, quelle est votre position de principe au sujet d'une assiette commune consolidée de l'impôt sur les sociétés au sein de l'Union ?