– Quelques mots à l'intention des nouveaux membres sur la façon dont nous travaillons.
Dans le dossier qui vous a été remis figure un document de présentation de l'Office qui vous précise nos modes de saisine et la façon dont s'opère le travail de fond que conduisent nos rapporteurs à l'occasion de chacune des études qui nous sont demandées – sachant que l'Office ne s'autosaisit pas. Les membres du secrétariat, dont une partie se trouve à l'Assemblée nationale, l'autre ici, sont à votre disposition pour toute information complémentaire.
J'en viens à l'organisation de nos travaux. Dans le même dossier, vous trouverez l'état de ceux qui sont en cours. Nous aurons à examiner, avant l'interruption des travaux du Parlement, fin février ou début mars, les conclusions de trois rapports - celles de Claude Birraux et Jean-Yves Le Déaut, sur « l'innovation à l'épreuve des peurs et des risques majeurs » ; celles d'Alain Claeys et Jean-Sébastien Vialatte, sur « l'impact et les enjeux des nouvelles technologies d'exploration du cerveau » ; celles de Geneviève Fioraso sur « les enjeux de la biologie synthétique » - ainsi que l'étude de faisabilité de Roland Courteau sur « les perspectives de l'aviation civile à l'horizon 2040 ». Nous entendrons, le 25 janvier, les auteurs du rapport que nous avons sollicité auprès de l'Académie de médecine sur la situation de l'épidémiologie en France. Est également prévue la visite, le 16 février, d'un laboratoire de l'Inserm à l'hôpital Robert Debré, ainsi qu'un déjeuner de travail avec l'Agence nationale de la recherche.
Je réunirai, le 25 janvier, notre bureau et vous serez informés de toute modification de ce programme. Je compte enfin m'attacher à obtenir la prise en compte, par les organismes qui mesurent le travail des parlementaires, de celui que nous fournissons ici, et qui est aussi important que le travail en séance.