Merci de votre réponse, madame la secrétaire d'État, mais elle ne répond pas à l'inquiétude principale, qui a trait à la capacité des orthophonistes déjà en activité à prendre en charge des pathologies dont j'ai cité quelques exemples. C'est le sujet de préoccupation : que les cabinets qui prennent actuellement en charge ces pathologies au quotidien puissent continuer à le faire à l'avenir.