La règle était qu'à partir de trois élèves touchés dans une même classe, celle-ci devait fermer pour une durée n'excédant pas six jours. Lors du pic épidémique, entre 20 et 30 classes ont été fermées dans le Loiret.
L'Éducation nationale informait la direction départementale des affaires sanitaires et sociales (DDASS), qui évaluait la dangerosité de la situation. Le préfet demeurait libre de son appréciation, mais si une quinzaine d'élèves de la même classe présentaient les symptômes de la grippe A(H1N1), la question ne se posait pas. J'avoue avoir été étonné de la réaction des parents d'élèves, qui étaient plutôt favorables à la fermeture de classes.