Sur un plan juridique, il s'agissait effectivement de réquisitions individuelles, mais elles n'étaient pas « forcées » comme à l'encontre des médecins qui faisaient grève en 2002. J'ai dû user également de mon pouvoir hiérarchique auprès d'un certain nombre de personnels relevant des services déconcentrés qui ne voulaient pas apporter leur quote-part à l'effort collectif.