Ne vous faites pas l'avocat de cette organisation contre laquelle nous sommes très irrités ! Nous représentons nous-mêmes un État qui en est membre. Quand un organisme gère une crise de façon aussi discutable, quand il s'auto-évalue, quand autant de questions se posent sur son rôle et sur l'indépendance de ses experts, la moindre des choses de sa part serait d'être transparent. L'auto-évaluation rencontre des limites, surtout lorsque l'organisme en question dépend d'États souverains qui essaient de comprendre ce qui s'est produit et qui, en plus, payent la facture des conséquences des décisions de celui-ci.