Je ne partage pas votre raisonnement, monsieur le président. Dans un collège de 1 600 élèves, c'est tous les jours que l'infirmière est confrontée à des urgences – demande de contraception d'urgence, actes de violence, tentative de viol… Moi qui suis parent d'élève, je ne pense pas que beaucoup d'infirmières puissent se permettre de sortir de leur établissement.
Par ailleurs, si les infirmières ont exprimé des craintes au sujet des effets indésirables du vaccin, c'est peut-être en raison du traumatisme causé par les vaccinations massives contre l'hépatite B, dans les années 1994 à 1997, qui avaient entraîné beaucoup de troubles neuromusculaires.