À l'avenir, ne serait-il pas de bon sens qu'au moins dans un premier temps – en tout cas dans le second degré et dans l'enseignement supérieur, la vaccination des enfants du premier degré se faisant logiquement avec leur famille –, on demande aux infirmières de l'Éducation nationale d'oeuvrer dans leur établissement d'affectation, où se trouvent les élèves – population considérée comme à risque – plutôt qu'ailleurs ? Cela leur permettrait en outre de ne pas déserter les infirmeries.