Nous avons d'abord été informées par la presse. Puis nous avons demandé à être reçues dans les ministères, qui nous ont apporté un commencement de réponse. Ensuite, les informations sont arrivées chez les chefs d'établissement, soit directement du ministère, soit en provenance des rectorats et des inspections académiques, ou encore des préfectures et de l'Institut national de prévention et d'éducation pour la santé (INPES). En tant que conseillères techniques, nous avons aidé les chefs d'établissement à clarifier cette masse d'informations reçues, afin de pouvoir les répercuter sur les élèves.