Si nous avions voulu avoir à tout prix du mono-dose, les programmes de livraison auraient été décalés au-delà de la limite supposée de la pandémie, c'est-à-dire au-delà du printemps. Les schémas de vaccination n'auraient alors plus eu grand sens.
Une fois réglée la question de la clause de responsabilité, qui n'a pas été un sujet mineur, toutes les discussions portaient sur les quantités disponibles et les calendriers de livraison.