À l'époque des négociations, il n'y avait aucun échange d'informations entre les différents États – fussent-ils européens – sur les prix. Nous disposons depuis lors d'un certain nombre d'informations, mais elles restent parcellaires. Il n'y a pas eu d'échanges systématiques sur ce sujet.
Nous nous sommes systématiquement appuyés sur la science et les référentiels de M. Renaudin pour déterminer si les prix proposés se situaient dans une fourchette raisonnable.