Ce n'est pas le rôle qui a été assigné à l'ÉPRUS.
Pour répondre au rapporteur, je préciserai qu'il nous restait, de la campagne précédente, à peu près 1 milliard de masques chirurgicaux et 700 millions de masques FFP2, dont les durées de validité étaient en moyenne de cinq ans, ainsi que 33 millions de doses d'antiviraux. Je vous ferai parvenir le détail de ces stocks.
Par définition, nous n'avions pas de stocks constitués de vaccins. Mais nous avons activé les tranches conditionnelles des contrats négociés dans le cadre du plan contre le H5N1 avec deux laboratoires.