Cet amendement est tout à fait important. Beaucoup d'entre nous ont déjà dénoncé le fait que ce projet de loi se fonde sur des critères traitant plus de l'offre et de la consommation de soins que de l'analyse des besoins de santé.
Or les observatoires régionaux de santé et les conférences régionales de santé sont les organismes les plus à même de réfléchir et de faire des propositions en matière de besoins de santé. Je l'ai constaté dans la région Nord-Pas-de-Calais où ces deux structures fonctionnent très bien.
La question des besoins de santé doit être le primum novens qui guidera nos réflexions et de nos propositions.
(L'amendement n° 400 n'est pas adopté.)