Vous avez évoqué la baisse de 23 % du fret ferroviaire de la SNCF, ce qui est énorme, tout en rappelant que le coût du train au kilomètre est chez nous deux fois plus élevé qu'en Allemagne ou qu'en Suisse. Les raisons sont-elles d'ordre structurel ou le volume traité est-il insuffisant ? L'écart est-il appelé à se creuser encore ?