Vous avez indiqué que les populations les plus défavorisées avaient été très réticentes vis-à-vis de la vaccination. Quels seraient, d'après vous, les meilleurs réseaux à utiliser pour leur permettre, dans l'avenir, de mieux apprécier la pertinence d'une vaccination éventuelle ? Pensez-vous que le recours aux réseaux habituels de santé – médecins généralistes, etc. – aurait permis d'améliorer la situation ?