Nous avons effectivement constaté que la complexité de l'architecture institutionnelle de Paris ne permettait pas un partage clair des rôles entre la préfecture de police et la préfecture de Paris. Il n'était pas dans notre mandat de faire un choix ou un arbitrage, d'autant que la décision dépend beaucoup plus du ministère de l'intérieur que du ministère qui nous avait saisis.
Au début du mois de décembre, conjointement d'ailleurs avec l'Inspection générale de l'administration, nous avons demandé que, pour la suite des opérations, on clarifie les rôles entre ces deux préfectures. Après, nous ne sommes pas réintervenus.