On a bien dit qu'il y aurait des publics prioritaires. Cela étant, vous êtes le premier, parmi toutes les personnes que nous avons auditionnées jusqu'à présent, à nous dire que la ministre vous a expliqué que les médecins libéraux n'avaient pas été associés en raison des difficultés qu'aurait posées la gestion des groupes prioritaires, ce qui est tout de même une explication plus satisfaisante que celles entendues jusqu'à présent, comme le fait que les médecins n'avaient pas de frigidaire ou autres arguments tout aussi fantaisistes !