Plutôt que de s'appuyer sur des instances qui, bien que censées être financées pour cela, n'effectuent visiblement pas correctement leur travail, pourquoi le ministère de la santé ou la direction régionale de la santé ne pourraient-ils pas adresser directement à tous les médecins, un courriel, ou un courrier aux quelques-uns qui seraient demeurés absolument rétifs à l'informatique, contenant une information neutre et fiable, sans risque qu'elle ait été déformée ? Qu'est-ce qui l'empêcherait sur le plan technique ou sur le plan financier ?