J'ai respect et estime pour mes collègues socialistes, et je ne voudrais pas que l'on puisse tenir ici des propos caricaturaux qui déforment les pensées des uns et des autres. Personne n'a le monopole des relations avec les organisations syndicales, et chacun s'efforce de trouver les moyens d'une croissance accrue qui permette à la France de tenir son rang. Or cette croissance ne peut reposer aujourd'hui que sur un nombre d'heures travaillées plus important.