La parole est à M. Richard Mallié.
M. Richard Mallié. M. Vercamer a dit exactement ce que je voulais dire. Monsieur Muzeau, on ne peut pas taper sur le Parlement en disant qu'il n'a aucun pouvoir, et continuer à lui taper dessus quand il travaille et montre qu'il sert à quelque chose !
M. Roland Muzeau. À votre avis, qu'est-ce que je fais là ?
M. Richard Mallié. Après les socialistes, c'est maintenant au tour des communistes de faire montre d'une totale incohérence. Où va-t-on, mes chers collègues ? (Exclamations sur les bancs du groupe GDR.)