Je souhaitais, monsieur le ministre d'État, vous interroger sur l'Iran et la Syrie, mais vous avez déjà largement répondu sur ces deux sujets.
S'agissant des élections en République démocratique du Congo, vous avez dit ce qu'il convenait de dire. La France a émis des doutes sur la sincérité des scrutins. Le calme apparent qui règne aujourd'hui dans le pays risque de ne pas durer. Je suis, pour ma part, très inquiet de ce qui peut se passer à l'annonce du résultat des élections législatives, déjà repoussée à plusieurs reprises.
Au Nigeria, les troubles s'amplifient et s'aggravent. Le risque de dérapage est avéré. Ce pays, qui joue un rôle central sur le continent africain, peut s'enflammer, avec un réel risque de contagion. Quel est votre sentiment sur ce sujet ?