Je veux rappeler que l'organisation du sport, dans notre pays, incombe à trois acteurs principaux : l'État, les collectivités locales et le monde sportif. Il faut laisser à ce dernier – et c'est d'ailleurs son souhait – une certaine liberté dans la définition de ses valeurs éthiques. Au reste, je suis convaincu que, si la proposition de loi avait été excessivement précise dans la définition de ces principes, l'opposition nous aurait reproché d'imposer trop de contraintes aux fédérations.