Je partage largement l'argumentation développée par M. le rapporteur.
J'ajouterai une remarque sur l'amendement n° 4 . Le mot de « conseil » a une certaine consonance, évoquant une procédure judiciaire. Or cette procédure n'a rien de judiciaire : elle ne juge pas la personne du chef de l'État mais vise à établir si la dignité de la fonction et celle de celui qui l'occupe sont compatibles.