L'UPA tient bien sûr sa place à la table des négociations. Il nous faut d'abord dégager un fort dénominateur commun dans le camp des employeurs. Le même exercice doit avoir lieu dans celui des salariés. En croisant les deux, il nous faudra ensuite trouver un « terrain d'atterrissage ». Aucun des problèmes posés n'est insoluble mais l'expérience est nouvelle. Dernière arrivée autour de la table et partant donc avec un handicap, l'UPA doit mettre les bouchées doubles pour ne pas être distancée.