Comme Mme Barèges, je considère que le contrôle des associations destinées à aider ces personnes est insuffisant.
À Aix-en-Provence, de nombreux enfants sont utilisés par les femmes pratiquant la mendicité. J'ai alerté les services de l'État sur cette pratique, car il est évident que de très jeunes enfants qui restent ainsi plusieurs heures dans les bras de ces femmes se sont vu administrer des médicaments à cet effet. L'État peut identifier les enfants non scolarisés et utilisés pour ces trafics, organisés par des mafias. Il est étonnant que les associations, qui reçoivent des fonds importants, ne luttent pas davantage contre ces comportements. L'OFII a-t-il la capacité d'agir en ce domaine ou faut-il saisir le ministère de l'intérieur ?