La Fédération française de tir est favorable à ce que rien de ce qui est autorisé aujourd'hui ne soit interdit demain.
Le deuxième alinéa de l'article 3 dispose que nul ne peut acquérir et détenir légalement des matériels ou des armes de toute catégorie s'il n'est pas âgé de dix-huit ans révolus, mais quelqu'un qui a moins de vingt-et-un ans pourra-t-il acquérir des armes de catégorie B ? L'autorisation de posséder un pistolet semi-automatique a ainsi été refusée à un jeune dragon parachutiste de dix-neuf ans qui revenait pourtant d'Afghanistan ! On frise le ridicule ! Dans ce cas, la majorité à vingt-et-un ans doit donc être ramenée à dix-huit ans.