Je voudrais juste compléter la démonstration du président de la commission des finances, et peut-être la corriger : si nous avons fixé deux taux, le premier applicable à partir de 1,3 million d'euros et le second à partir de 3 millions, c'est aussi pour intégrer le caractère évolutif du patrimoine, sans quoi nous aurions fixé une seule tranche et un seul taux.
Par ailleurs, et c'est probablement ce qui nous sépare profondément, nous ne considérons pas la résidence principale comme un élément spéculatif.