Cet amendement, s'il était adopté, permettrait peut-être de considérer plus judicieusement l'impact de la résidence principale sur l'établissement de la cotisation au titre de l'ISF.
On a entendu très souvent, ces dernières heures, l'argument selon lequel seule la bulle immobilière expliquait le fait qu'une partie de nos concitoyens était désormais assujettis à l'ISF, l'appartement qu'ils avaient acquis ayant pris une valeur les faisant dépasser le seuil d'imposition.