On ne peut, en effet, opposer le secret fiscal au président de la commission des finances et au rapporteur général. Nous avions donc, à l'époque, entrepris de consulter les différents fichiers. Nous nous sommes parfaitement coordonnés dans notre expression à l'extérieur pour faire en sorte que les contribuables qui avaient des comptes en Suisse soient vraiment incités à se faire connaître, dès lors qu'ils risquaient de figurer sur cette liste.