C'est précisément ce que nous voulons faire, madame Lebranchu, mais nous n'avons pas besoin de la loi pour cela ! Nous voulons déléguer la gestion du fonds aux préfets, tout en préservant les crédits nationaux qui seront affectés en crédits de paiement ou selon les besoins détectés par les préfets. Rassurez-vous : nous n'avons aucune intention de créer un bureau du FISAC à Paris !