Même avis. Le principe de la déconcentration est celui que nous voulons appliquer. Cela étant, une telle mention n'a pas sa place dans la loi. En outre, en cas de déconcentration excessive, comment les crédits non consommés reviendront-ils l'année suivante au territoire concerné ? Un minimum de souplesse est nécessaire. C'est aux préfets qu'il reviendra de gérer les enveloppes du FISAC, dans le cadre d'une fongibilité permettant de les adapter intelligemment à la demande, pour éviter le travers de la déconcentration excessive des crédits – des crédits non consommés d'un côté, des besoins insatisfaits de l'autre.