Les engagements dont parle M. Lurel n'ont pas été claironnés. Un document daté, si je ne me trompe, du 18 février dernier, indiquait seulement que si cette extension pouvait permettre la résolution du conflit, nous pourrions l'envisager. Malheureusement, en dépit de très longues discussions, cela n'a pu être le cas.
Si pour Victorin Lurel le passage de 1,3 milliard à 1,5 milliard, autrement dit un gain de 200 millions d'euros ne représente qu'une petite satisfaction, je vous laisse imaginer ce que serait pour lui une grosse satisfaction… Ajoutons que le Gouvernement lui donne en partie satisfaction puisque toutes les entreprises appartenant aux secteurs prioritaires, qu'elles aient plus ou moins de 11 salariés, sont concernées. L'amendement Lurel est donc, j'y insiste, satisfait en partie, d'autant que les entreprises concernées sont nombreuses. Nous avons réalisé un pas l'un vers l'autre et ainsi atteint un juste équilibre.