Monsieur le ministre, beaucoup l'ont dit : texte après texte, vous poursuivez le détricotage ce que le monde du travail a peu à peu arraché au patronat et, parfois, aux gouvernements. (Sourires et exclamations sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.) Même si vous faites mine de ne pas le reconnaître, c'est la lutte des salariés pour une meilleure répartition des fruits de leur labeur qui fait avancer les choses.