Devant tous nos chantiers, il est écrit « Interdit au public ». À moins de connaître quelqu'un qui y travaille, on ne voit donc pas ce qui s'y fait, ni si les conditions de travail y ont changé. Chacun reste sur ses clichés, et les clichés ont la vie dure. Nous devons, par conséquent, conduire un réel travail de communication pour faire connaître ce qui a évolué dans le bon sens.