Dans un premier temps, ils approuvent le Gouvernement ; dans un deuxième temps, ils expliquent qu'ils ne votent pas pour ce texte.
Pour cette raison, je suis persuadé que, pour les jets de pierres contre les transports publics, le président Bartelone va prendre le relais : il sait qu'il doit le faire s'il veut éviter que demain j'envoie son vote négatif à tous les conducteurs de bus…