Celles et ceux qui, comme moi, ont décidé de s'installer en secteur libéral n'ont plus d'activité d'enseignement, mais nous essayons de faire en sorte que les internes puissent être aussi formés dans les établissements privés. La situation commence d'ailleurs à évoluer : il y a aujourd'hui une clinique, à Paris, qui accueille un interne dans notre spécialité.