Le seul bémol concerne les femmes qui choisissent d'avoir des enfants pendant leur internat ou leur clinicat : il faudrait les aider davantage pour trouver un mode de garde, quelle que soit leur spécialité et plus encore lorsqu'il s'agit de la chirurgie, où les gardes sont nombreuses.
Pour ma part, je pensais avoir accès à la crèche de l'hôpital, relevant de l'Assistance publique, où j'étais interne, mais j'ai été extrêmement mal accueillie. J'en garde un souvenir très désagréable.