Je ne suis pas sûre que cette anecdote reflète vraiment la réalité : lorsque j'étais interne, les femmes se faisaient respecter parce qu'elles étaient capables de travailler autant que les hommes, voire plus, et au moins aussi bien qu'eux. A partir du moment où l'on avait acquis ses galons, les rapports avec les grands patrons changeaient. On savait ce qui allait se passer et on rentrait dans le moule.
Par ailleurs, les femmes peuvent être en retard, comme tout le monde, mais chacun a pu constater qu'elles sont globalement à l'heure et même plutôt en avance.