Valérie Pecresse, ministre du budget, des comptes publics et de la réforme de l'état, porte-parole du Gouvernement :
Ce n'est pas logique. Les produits de première nécessité, correspondant à l'alimentation humaine, sont à 5,5 %, mais les produits d'alimentation animale restent à 7 %. C'est très simple : il suffit de savoir à qui l'on vend et pour quoi faire.