Pour notre part, au Front de gauche, la question de la double imposition des filiales françaises au Panama ne nous préoccupe pas, et nous ne comprenons pas pourquoi ce texte nous est imposé avec une telle précipitation.
En revanche, nous nous soucions de nos concitoyens, des salariés, de ceux que la crise étrangle et qui ont aujourd'hui les pires difficultés à vivre correctement.
C'est la raison pour laquelle les députés communistes, républicains, citoyens et du parti de gauche voteront contre ce texte.