Par ailleurs, ce n'est pas au nom du triple A, monsieur le député, que nous avons réformé les retraites, mais au nom d'une certaine idée du respect, d'une part, du pacte entre les générations issu de la sécurité sociale d'après-guerre et, d'autre part, des générations qui nous ont précédés et qui ont permis, par leur travail, une augmentation de la richesse et une amélioration du confort des Français. C'est au nom de ces deux idées simples que nous avons réformé les retraites.
Ce n'est pas au nom du triple A que nous avons engagé une politique de réduction des déficits, mais au nom de la souveraineté nationale. Par esprit de responsabilité, nous avons choisi de préserver l'avenir des générations qui suivent…